T’as déjà essayé de survivre en Dordogne avec juste ta bite et ton couteau ?


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L’aventure en un mot
Pas la peine de ricaner bêtement. La « bite », au sens militaire, signifie le courage, qui n’a ni sexe ni genre. C’est à un week-end de survie en pleine nature qu’on te convie, avec pour seules armes ton mental et un couteau. Et c’est ouvert à tous et toutes, évidemment.
Demandez le programme !
Ca se passe où cette histoire ?
Dans un environnement aussi hostile qu’inhospitalier : la Dordogne. Tu ricanes encore ? Eh ben, viens, si tu l’oses !
Ok ça a l'air pas mal, c'est quoi le programme ?
Jour 1
Rendez-vous le soir au camp de base pour préparer ton matériel : le fameux couteau (pour le courage, on te fait confiance). En deux ateliers, tu apprendras à fabriquer des pièges simples et un abri d’urgence : les bases de la survie en milieu hostile, quoi. Et ensuite, au dodo ! Avec ce qui t’attend, t’as intérêt à prendre des forces…
Jour 2
D’abord, briefing sur les principes fondamentaux de la survie, parce que c’est plutôt pas mal de commencer par le début. La troupe quitte le camp à 8h30, direction le bivouac, alors ne lambine pas pour lasser tes godillots. Pendant la marche, ouvre bien tes esgourdes : ton guide te délivrera les secrets de la survie en pleine nature. Il t’apprendra le glanage et comment reconnaître les plantes comestibles (ben oui, t’as pas envie de nous rejouer Into the Wild, hein?). Tu auras droit à quelques bonnes séances d’orientation et, en prime, tu travailleras ta gestion du stress. Cool, Raoul.
Et une fois arrivé.es à destination, me diras-tu ? Tu sors ton couteau et tu te fabriques un abri pour la nuit. Tu ne croyais pas qu’une tente Quechua t’attendrait toute dépliée, quand même ? Et ne crois pas qu’après ça tu vas pouvoir souffler : tu as encore plein de choses à apprendre. Comment faire du feu sans briquet ni allumette, par exemple (et sans baguette magique non plus). Tu découvriras aussi la méthode pour rendre l’eau potable et éviter de t’empoisonner en te désaltérant. Ton guide te montrera enfin comment manier armes et pièges pour blesser et capturer tes proies en évitant de te faire bobo.
Mais le temps passe, le soleil descend sur l’horizon… Il est temps d’aller cueillir plantes et insectes comestibles, et de poser quelques pièges (souviens-t ’en quand tu iras faire pipi). La journée s’achève en toute convivialité par un repas autour du feu. Quelqu’un a amené sa guitare ?
Jour 3
Debout, là-dedans ! C’est l’heure d’aller relever les pièges et de collecter de l’eau. Ensuite, atelier brancardage, car la survie, c’est aussi savoir secourir les blessés. Aujourd’hui, on parlera protection de l’environnement et tu apprendras que faire de ton feu après un bivouac, parce que la survie, c’est aussi respecter la nature.
À midi, on te lâche avec une carte et une boussole, et débrouille-toi pour retrouver le gîte de départ. Mais si, tu en es capable, Davy Crockett ! Songe à la récompense ultime qui t’attend à l’arrivée : du café chaud et un bon débriefing du séjour avec ton guide et tes compagnons de route. C’est pas le panard, ça ?
Infos pratiques
On dort où dans tout ça ?
Sous la tente, pardi !
Je peux venir ?
Tu as plus de 16 ans ?
Si tu as répondu oui à cette question, je réponds oui à ta question.
Et, faut-il le rappeler, ce stage est bien évidemment ouvert aux femmes.
Comment j’y vais ?
En crapahutant, tiens, et en te guidant grâce aux étoiles ! Ou tu peux faire du stop ou prendre le train, si tu te sens l’âme moins aventureuse. Le point de départ de l’aventure est à Saint-Geniès, entre Sarlat et Lascaux.
Je paye pour quoi au juste ?
De mon côté, qu'est-ce que je dois rajouter ?
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